Jean Luc Thomas

Nyèta

nyeta

La rencontre de deux individus issus de sphères musicales distinctes (musiques traditionnelles pour l’un, électroniques pour l’autre.
Leur réunion est une joute sonore où électronique et acoustique s’entremêlent, où les frontières se dissolvent et de nouvelles perspectives se dessinent. L’improvisation et l’écriture se révèlent pour une musique populaire imaginée, toujours à reconstruire par l’écoute et le dialogue permanent.

* nyèta : se voir en dagara (langue du sud du Burkina-Faso)

Mathias Delplanque

est un artiste sonore multi-facettes, auteur en solo de nombreux projets musicaux (Lena, Bidlo, Stensil…). Fondateur de plusieurs ensembles (The Floating Roots Orchestra, AAA Men, The Missing Ensemble…), créateur d’installation sonores, improvisateur, performer… il a publié à ce jour plus d’une quinzaine d’albums sur divers labels internationaux, et présente régulièrement son travail dans l’espace lors de festivals, en galeries ou en centres d’art.

Site perso : http://www.mathiasdelplanque.com
Site label : http://www.bruitclair.com

La presse

« Le petit génie de l’electro nantaise Mathias Delplanque rencontre l’étonnant flûtiste trégorois Jean-Luc Thomas. Après plusieurs rencontres improvisées les deux artistes s’arrêtent quelques jours à Penvénan pour y créer « nyèta », leur nouveau concert qui sera présenté au festival « Brèches » à Nantes. On y retrouvera certainement ce qui fait la marque de fabrique des deux musiciens, pour l’un, la gracieuse maîtrise de la flûte traversière en bois et des musiques traditionnelles bretonnes et africaines et, pour l’autre une sensibilité et délicatesse inhabituelle dans le domaine de la musique électronique. Jean-Luc et Mathias sont des improvisateurs reconnus qui ont l’habitude des rencontres fusionnelles, ce qui laisse présager d’un très bon concert. »
Hebdo Le Trégor – Février 2010

« On savait le joueur de flûte capable de faire sortir les rats des villes et les conduire aux champs (dans les vertes bordures ou les sèches étendues), pour se rincer les oreilles aux sources traditionnelles, par quel détour alors, il croise, chemin faisant, une nappe de sons, un cristallin nuage, et comment ils s’engouffrent, ensemble maintenant, dans un chemin qu’on dirait creux et taillé que pour eux où des pointes de rosées perlent,délicats et diffus déluges d’artifices aux effluves si urbaines, où des clapotements surgissent et suscitent nos vertes oreilles, il ne le sait pas, pas plus que son compère mais nous les y suivons, avec un ravissant étonnement. »
Alain Hélou-Les Ateliers du Vent – Juin 2009

Partenaire

nyèta a été fabriqué avec le soutien très actif de L’association Fur ha Foll (Penvenan).